Académie De La Salle

L'Académie De La Salle, sur la rue Saint-Pierre, avec une aile sur la rue Laviolette, fut d'abord connue sous le nom d'école Sainte-Ursule ouverte par la Société d'éducation de Trois-Rivières le 20 janvier 1831, puis dirigée par les Frères des Écoles chrétiennes (1844). L'emplacement est aujourd'hui occupé par un immeuble à bureaux du gouvernement du Québec: l'édifice Capitanal.L'école Sainte-Ursule avait ainsi été nommée à cause de la présence des Ursulines (sainte Ursule serait apparue à sainte Angèle Mérici, fondatrice de l'Ordre de Sainte-Ursule ou des Ursulines).En 1829, la Législature du Bas-Canada adopta la Loi des écoles de syndics afin de remédier à l'injustice créée par la Loi des écoles de fabriques (1824). Cette nouvelle loi allait avoir la même incidence sur les écoles francophones (catholiques) que l'Institution royale pour l'avancement des sciences (1801) avait eue sur les écoles anglophones (protestantes), puisqu'elle permettait aux premières, comme aux secondes, de recevoir des octrois du gouvernement et d'exiger une rétribution mensuelle des élèves. Plusieurs associations bénévoles s'intéressant à l'éducation de la jeunesse apparurent à travers le Bas-Canada (Québec, Montréal, Berthier). La plupart de ces sociétés d'éducation fondèrent des écoles de niveau élémentaire qu'elles pouvaient maintenir grâce aux octrois du gouvernement. Ces institutions accueillaient surtout des enfants pauvres et dispensaient l'enseignement primaire: lecture, écriture, calcul, grammaire française, anglais, religion, géographie, histoire. Elles utilisaient couramment le mode mutuel qui permettait de grouper un très grand nombre d'écoliers. Le mode mutuel ou de Lancaster, du nom de Joseph Lancaster (1778-1838) qui a largement répandu le procédé dans le Bas-Canada, consistait à employer des moniteurs pour faire répéter des choses faciles (et non pour donner l'enseignement) dans les classes très nombreuses.D'éminents citoyens de Trois-Rivières surent alors profiter de cette législation et, dès 1829, l'une de ces associations était établie à Trois-Rivières. Organisant une campagne de souscription parmi les Amis de l'éducation et obtenant un octroi gouvernemental de 500 £, l'association réussit à rassembler les fonds nécessaires à la construction d'une école en pierre. Le plan et les contrats furent signés par l'entrepreneur Maurice Ryan et le représentant de l'association, le docteur René Kimber, en l'étude des notaires Antoine Leblanc et J.-N. Badeaux. Le chantier s'ouvrit peu après, à l'angle des rues Saint-Pierre et Saint-François-Xavier. À la fin de 1830, la construction de la première école de garçons permanente de Trois-Rivières, l'école Sainte-Ursule, était achevée.

Voulant sans doute profiter des avantages de la nouvelle Loi des écoles de syndics, les Amis de l'éducation se réunirent en assemblée de fondation le 3 novembre 1830. Le juge Joseph-Rémi Vallières de Saint-Réal fut choisi comme premier président de la Société d'éducation de Trois-Rivières et trois syndics furent élus par les citoyens. Au fil des ans, les syndics firent place à un conseil d'administration formé de 12 membres choisis parmi les Trifluviens "les plus en vue". Matthew Bell, Philippe Burns, J.-G. Ogden, Antoine Polette, Edward Barnard, Valère Guillet, L. D. Craig, Georges Badeaux et Joseph Pacaud furent du nombre.L'école Sainte-Ursule ouvrit ses portes le 20 janvier 1831; pendant les dix années suivantes, la Société d'éducation de Trois-Rivières assuma la direction de l'école de garçons Sainte-Ursule. Son ouverture marquait enfin l'établissement durable de la première école de garçons à Trois-Rivières, plus de 130 ans après celle des filles, au couvent des Ursulines. Cette école, comme les autres institutions fondées par des sociétés d'éducation, accueillait surtout des enfants pauvres, sans distinction de langue ou de religion. Elle était divisée en deux sections, l'une pour la classe française et l'autre pour la classe anglaise. Thomas Coster, Charles Hubert Lassiseraye, James Stringer et Robert Moorehead s'inscrirent parmi les premiers titulaires.En 1838, l'école Sainte-Ursule comptait 131 élèves (86 francophones et 45 anglophones). Parmi eux, 105 étaient admis gratuitement (68 francophones et 37 anglophones). Les autres, ceux qui le pouvaient (18 francophones et 8 anglophones), payaient une petite contribution volontaire. De 1831 à 1837, les montants ainsi versés par les parents des élèves totalisèrent 46 livres et 3 chelins, somme nettement insuffisante pour soutenir une école. Il fallut donc s'appuyer sur d'autres sources de revenus. D'abord, les souscriptions publiques: pendant les mêmes sept années (1831-1837), elles rapportèrent 301 livres, 10 chelins et 9 deniers, mais il semble que près de la moitié des sommes souscrites n'aient jamais été payées. Ensuite, les octrois du gouvernement: ils s'établissaient, en moyenne, à 100 £ par année durant la même période.
Bref, la Société d'éducation de Trois-Rivières connaissait une situation financière difficile quand, le 3 novembre 1838, le vicaire-général et curé de Trois-Rivières, Thomas Cooke, en fut élu président. L'année suivante, le gouvernement du Bas-Canada ne lui accorda que 90 £, au lieu des 300 £ demandées. Aussi, le 11 mai 1840, la Société fut-elle forcée de fermer l'une des deux sections de l'école Saint-Ursule, la classe anglaise.Suite à la publication du rapport de John George Lambton (lord Durham) sur les affaires de l'Amérique du Nord britannique, contenant le rapport d'enquête du commissaire Arthur Buller sur l'éducation dans le Bas-Canada, le Parlement adopta la Loi de l'instruction publique (1841) qui visait la scolarisation de tous les enfants âgés entre 5 et 15 ans et l'établissement d'un véritable système d'écoles publiques. Toutes les écoles subventionnées passèrent alors sous la juridiction des conseils municipaux. L'éducation des enfants devenait ainsi l'une des compétences des corporations locales, au même titre que la construction de ponts et l'entretien des chemins. Mais les conseils municipaux bénéficiaient du pouvoir de taxation, que n'avaient pas les fabriques et les syndics; leurs revenus, plus importants, permettaient d'établir et de soutenir des écoles en nombre suffisant pour répondre aux besoins de la population. Quatre ans plus tard, la Loi scolaire de 1845 remettait l'administration des écoles entre les mains d'organismes qui devaient assurer une partie de leur financement à même le revenu des impôts fonciers: on créa alors des commissions scolaires indépendantes des corporations municipales, chacune des deux institutions conservant son pouvoir de taxation.
À Trois-Rivières, la Société d'éducation céda rapidement la place, d'abord à la Ville de Trois-Rivières, puis à une commission scolaire qui garantit la survie de l'école Sainte-Ursule en même temps que l'établissement de quelques autres écoles publiques. On divisa le territoire paroissial en arrondissements scolaires et, dans chacun où il ne se trouvait pas déjà une école, on loua ou on acheta une maison et on engagea un instituteur ou une institutrice.Mais le faible taux de fréquentation scolaire et, plus encore, la piètre qualité de l'enseignement préoccupaient passablement les autorités locales, en particulier le curé Thomas Cooke. En 1844, il fit donc appel aux Frères des Écoles chrétiennes pour prendre en charge l'école Sainte-Ursule, dans l'arrondissement no 1. L'Institut des Frères des Écoles chrétiennes, entièrement voué à l'éducation de la jeunesse, était en fait une véritable pépinière de maîtres d'école. Arrivés à Montréal en 1837, les Frères jouissaient d'une excellente réputation dans l'enseignement et avaient déjà contribué à rehausser le prestige de la profession d'instituteur. De plus, contrairement aux Frères Charon, ils ne connaissaient aucun problème de recrutement.Le frère Aidant, visiteur provincial de l'Institut des Frères des Écoles chrétiennes, envoya trois frères pour prendre charge de l'école Sainte-Ursule de Trois-Rivières: les frères Gélisaire, Basil et Luke. Dès la rentrée scolaire, le 4 octobre 1844, les trois religieux accueillirent 280 élèves distribués en trois classes, soit près de 100 élèves par classe. Le 21 décembre suivant, le curé Cooke écrivait au supérieur général des Frères: "Il n'y a pas trois mois que l'école est ouverte et déjà on ne reconnaît plus les enfants tant ils sont changés. Ils sont devenus pacifiques, pieux, amateurs de l'étude". Avec les Ursulines, les Frères formaient un corps professoral solide et suffisamment nombreux pour répondre rapidement aux attentes des commissaires d'école, des parents et de la clientèle scolaire.
L'année suivante, deux autres frères joignirent les rangs du personnel de l'école et l'on ouvrit deux classes anglaises. De plus, une classe du soir accueillit les garçons qui ne pouvaient fréquenter l'établissement durant le jour. En 1846, l'octroi accordé par la Législature à l'école Sainte-Ursule atteignit 180 livres, 18 chelins et 5 deniers, soit 20 £ pour chacune des quatre classes françaises et anglaises, 20 £ pour la classe du soir, 60 £ pour les salaires et le reste pour le soutien de toute l'école.
Dans son rapport de l'année 1855, l'inspecteur des écoles, Petrus Hubert, écrivait au sujet de l'école Sainte-Ursule:
« Dans l'école des Frères, divisée en quatre classes, on enseigne le français et l'anglais, les
notions élémentaires des sciences, la musique, le chant et, surtout, les principes d'une bonne
conduite religieuse, morale et civile à plus de 200 jeunes élèves dont le maintien réglé et
exemplaire est admiré de tout le monde ».
En 1852, l'établissement passa sous le contrôle de la Commission scolaire de Trois-Rivières. Mais sept ans plus tard, la Corporation municipale obtint de la Législature le droit de gérer elle-même les propriétés de la Commission et les fonds des écoles (jusqu'en 1928). C'est donc la Ville de Trois-Rivières qui, en 1861, assuma les frais d'aménagement d'un demi-pensionnat, appelé internat, pouvant loger une trentaine d'enfants. Dès l'année suivante (1862), l'édifice de la rue Saint-Pierre fut prolongé en direction de la rue Laviolette. De minces cloisons demi-vitrées et amovibles séparaient les salles de classe. Les jours de séance, on les enlevait et l'on obtenait ainsi une grande salle. L'ameublement était simple et modeste. Les tables et bancs combinés, peints en jaune, solides, faisaient fréquemment cadeau d'échardes aux jambes des élèves. En janvier 1883, le département de l'Instruction publique exigea que les sièges soient enfin pourvus de dossiers.Le nombre toujours croissant des élèves (412 en 1869, 500 en 1874) ramenait constamment des problèmes d'espace. À maintes reprises, on dut agrandir l'établissement grâce à des souscriptions, des corvées et des profits tirés des bazars, concerts et soirées dramatiques. En juin 1873, une aile en brique fut ajoutée derrière le bâtiment primitif, le long de la rue Saint-François-Xavier. Puis, en 1907-1908, on construisit une autre annexe à laquelle on donna le nom d'Académie De La Salle, en l'honneur du saint patron des Frères. Ayant échappé de justesse à l'incendie dévastateur du 22 juin 1908, l'école était alors l'une des plus belles et des plus modernes de la ville, chauffée à l'eau chaude (depuis 1898) et éclairée à l'électricité (depuis 1904).En 1910, on expropria le cimetière juif, érigé en 1827 et qui se trouvait en pleine cour de récréation depuis les derniers agrandissements de l'école. Six ans plus tard, le 25 septembre 1916, commencèrent des travaux de prolongement de l'Académie sur la rue Saint-Pierre jusqu'à la rue Laviolette. La nouvelle annexe, achevée le 1er décembre 1917, contenait 12 salles de classe, deux salles d'étude, un laboratoire de chimie, deux dortoirs et deux réfectoires. C'est dans cette aile que les Frères aménagèrent leur résidence.
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En 1927, l'édifice primitif et presque centenaire de l'école Sainte-Ursule tomba sous le pic des démolisseurs. Enfin, en 1934, on ajouta une autre annexe sur la rue Laviolette, en direction de la rue des Prisons (aujourd'hui disparue), comprenant un gymnase, un auditorium, une chapelle et un dortoir. On en profita pour réaménager d'autres salles pour la dactylographie, la musique et les laboratoires de sciences.En somme, la petite école de 1831 avait énormément grandi et était devenue une importante académie. En 1934, elle dispensait non seulement les cours préparatoire et élémentaire, mais aussi les cours intermédiaire, secondaire et commercial. L'Académie De La Salle offrait ainsi une formation complète et de qualité. Le jeune garçon qui y entrait sans savoir ni lire ni écrire en sortait bien préparé pour le marché du travail ou pour être admis à l'université. La liste serait longue des Trifluviens connus qui sont passés sur les bancs de l'Académie De La Salle: politiciens, maires, médecins, avocats, notaires, commerçants, hommes d'affaires. Frédéric Poliquin, J.-L. Fortin, Charles-Édouard Bourgeois, Henri Gauthier, J.-A. Saint-Pierre, Ernest Denoncourt, Arthur Bettez, Harvey Rivard, Napoléon Godin, Jack Toupin en sont quelques-uns.À la formation académique régulière venait se greffer toute une panoplie d'activités parascolaires auxquelles les élèves pouvaient participer. Des activités pour tous les goûts: religieuses (Société des amis du Sacré-Cœur de Jésus, Congrégation de la Très-Sainte-Vierge, croisade eucharistique, etc.), sportives (clubs de gymnastes, de hockey, de quilles), militaires (corps de cadets), scientifiques et culturelles (cercles littéraires, cercle des jeunes naturalistes) et, surtout, musicales. L'Académie comptait plusieurs formations qui présentaient fréquemment leurs spectacles au grand public: chorale, chœur mixte, orchestre à cordes, harmonie et la célèbre philharmonie dont J.-Antonio Thompson était le directeur musical. L'auditorium De La Salle devint, à toutes fins utiles, le « centre culturel » de Trois-Rivières. Congrès, conférences, débats oratoires, pièces de théâtre, concerts s'y succédaient.Au début des années 1960, les édifices de l'Académie ne pouvaient plus satisfaire aux exigences du système d'éducation. En 1964, les Frères des Écoles chrétiennes et leurs élèves durent quitter la rue Saint-Pierre pour s'installer dans un nouvel édifice moderne bâti dans la mission Notre-Dame-de-la-Paix (future paroisse Saint-Laurent), à l'angle des boulevards des Forges et des Récollets. Connue d'abord sous le nom d'école secondaire de la Salle, cette institution devint en 1971, l'école polyvalente De La Salle.Quant aux édifices de la rue Saint-Pierre, ils furent ensuite occupés par l'école secondaire Lavérendrye durant presque dix ans, c'est-à-dire de 1964 jusqu'au 3 mai 1973. Dans la nuit du 3 au 4 mai 1973, un terrible incendie réduisit en cendres l'ancienne Académie De La Salle. Un immeuble à bureaux du gouvernement du Québec, l'édifice Capitanal, occupe aujourd'hui le site de l'ancienne Académie De La Salle.
(suite de la fiche précédente)

La première patinoire destinée à la pratique du hockey fut inaugurée en 1893 à l'angle des rues Saint-Pierre et Saint-François-Xavier, probablement sur le terrain de l'école Sainte-Ursule (ou Académie de la Salle) appartenant aux Frères des Écoles chrétiennes: le club Victor y disputa alors une partie contre le club de l'Académie de la Salle.

Un cimetière juif, érigé sur la rue des Prisons en 1827, voisinait avec l'emplacement de l'école Sainte-Ursule établie à l'angle des rues Saint-François-Xavier et Saint-Pierre. Les agrandissements successifs de l'école, notamment en 1862 et 1873, en réduisirent la superficie à un lot très étroit. Puis la construction de l'Académie de La Salle, en 1908, situa bientôt le cimetière au beau milieu de la cour de récréation de l'établissement scolaire. Excédée par les fréquentes récriminations de la communauté juive, la Commission scolaire décida d'exproprier le cimetière en 1910. Tout fut aussitôt détruit par les élèves de l'Académie et, selon la volonté de Miriam Hadley-Hart-Belasco, les ossements furent transportés à Montréal. Le terrain sert aujourd'hui de stationnement à l'usage de l'édifice Capitanal (bureaux régionaux du gouvernement du Québec).

Au début de la décennie 1840, au moment où les commissaires mirent en place un réseau d'écoles, l'axe des rues du Platon - des Forges - Lejeune servait de ligne de division des arrondissements scolaires. Outre l'école de filles des Ursulines et l'école de garçons Sainte-Ursule, au moins deux autres écoles de garçons se trouvaient au nord-est de cette ligne: celle de Peter Scannell et celle de monsieur Jeannet ou celle de monsieur Paillé. Il est vraisemblable qu'on y trouvait aussi une ou deux autres écoles de filles: celles de dame Esthier (1850), dame Jean-Baptiste Milette (1851) ou dame E. Olivier (1851).

En juin 1851, les élèves de l'école Sainte-Ursule, le corps des pompiers, l'Association mercantile, l'Institut canadien, la Société de tempérance et la Société Saint-Jean-Baptiste participèrent à un immense défilé de la fête de la Saint-Jean-Baptiste qui se termina sur la place d'Armes, rue Notre-Dame (des Ursulines).

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L'inspecteur d'écoles pour les villes de Trois-Rivières et de Cap-de-la-Madeleine Lucien Hamelin relatait ainsi, au profit du surintendant de l'Instruction publique, quelques-unes des cérémonies auxquelles il prit part durant l'année 1949-1950:
Lucien Hamelin participe "à plusieurs démonstrations scolaires: noces d'argent de
l'école Dollard, graduation des finissantes aux écoles Saint-Louis-de-Gonzague,
Sainte-Cécile et Saint-Joseph; revue de gymnastique à l'Académie de la Salle;
démonstration patriotique à l'école Saint-François-Xavier à l'occasion de la fête de
Dollard; visite des expositions scolaires aux écoles Marie-Immaculée, Sainte-Marguerite,
Sainte-Angèle et Chamberland [...] ".

Du 24 au 31 octobre 1941, dans le cadre des fêtes du Congrès eucharistique diocésain de Trois-Rivières, les Frères des Écoles chrétiennes organisèrent une Semaine d'enseignement religieux à l'Académie de la Salle: conférences, films, expositions.

Date1873
CollectionEncyclopédie Trifluviana
Source René BEAUDOIN et Daniel ROBERT, "Le patrimoine religieux de Trois-Rivières", dans: Patrimoine trifluvien (bulletin annuel d'histoire de la Société de conservation et d'animation du patrimoine de Trois-Rivières), no 8, juin 1998, p. 12, 19 et 24. En collaboration, "Du fleuve aux coteaux, un siècle de vie trifluvienne", dans: Patrimoine trifluvien (bulletin annuel d'histoire de la Société de conservation et d'animation du patrimoine de Trois-Rivières), no 1, avril 1991, p. 7. FRÈRES DES ÉCOLES CHRÉTIENNES, Un siècle au service de la jeunesse (1844-1944). Pascal GILBERT, "158 ans d'histoire déménagent", dans: Le Nouvelliste (Trois-Rivières), 19 juillet 2002, p. 5. Jocelyne MURRAY, "Quelques reflets de la vie scolaire, d'hier à aujourd'hui", dans: Patrimoine trifluvien (bulletin annuel d'histoire de la Société de conservation et d'animation du patrimoine de Trois-Rivières), no 5, avril 1995, p. 23. Daniel ROBERT, "Les petites écoles à Trois-Rivières, XVIIe-XXe siècles", dans: Patrimoine trifluvien (bulletin annuel d'histoire de la Société de conservation et d'animation du patrimoine de Trois-Rivières), no 5, avril 1995, p. 3-6, 10-11, 18 et 24. Daniel ROBERT, "Les parcs et lieux publics de Trois-Rivières, XVIIe-XXe siècles", dans: Patrimoine trifluvien (bulletin annuel d'histoire de la Société de conservation et d'animation du patrimoine de Trois-Rivières), no 6, mai 1996, p. 3 et 17. Daniel ROBERT, Carnet du patrimoine (bulletin de liaison de la Société de conservation et d'animation du patrimoine de Trois-Rivières), numéro spécial, juin 1998, p. 11. Daniel ROBERT, "La vie culturelle trifluvienne", dans: Patrimoine trifluvien (bulletin annuel d'histoire de la Société de conservation et d'animation du patrimoine de Trois-Rivières), no 10, août 2000, p. 15.

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