Le 8 mai 1874, les Ursulines de Trois-Rivières acceptèrent de vendre trois lots (1756, 1757 et 1758) à l'évêque de Trois-Rivières, Mgr Louis-François Laflèche, "en faveur d'un établissement destiné à opérer tant de bien dans le diocèse...". Ces lots, qui devaient servir à agrandir le terrain du Séminaire Saint-Joseph, ne formaient en fait qu'une mince lisière du côté ouest de la rue Saint-François-Xavier, à partir de la rue du Collège (tronçon aujourd'hui disparu) jusqu'à l'axe de la rue Saint-Thomas.
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En juillet 1881, Mgr Laflèche fit commencer les travaux pour l'ajout du troisième étage à la tour du clocher de la cathédrale L'Assomption de Trois-Rivières et l'installation d'un cadran (depuis 23 ans, la tour était recouverte d'un simple toit en forme de diamant). Afin de réduire les frais, le clocher fut bâti moins élancé que prévu dans les plans de Bourgeau. En 1890, Rousseau et Decelles, de Saint-Hyacinthe, réalisèrent la décoration intérieure de la cathédrale et on installa l'électricité.
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En 1882, Mgr Louis-François Laflèche fit restaurer l'église paroissiale Immaculée-Conception de Trois-Rivières.
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En 1886, Mgr Laflèche, s'opposa fermement à la création d'un parc public sur les coteaux de Trois-Rivières, partie éloignée de la ville qui pouvait échapper au contrôle du clergé et aux règles sociales.
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La fermeture de l'hôpital des Ursulines, le 28 février 1886, conduisit au regroupement des œuvres de charité sous un même toit, comme le voulait l'évêque de Trois-Rivières, Mgr Louis-François Laflèche.
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Le 20 novembre 1892, Mgr Laflèche bénit trois nouvelles cloches coulées par la fonderie Mears & Stainbank en Angleterre pour la cathédrale L'Assomption de Trois-Rivières. L'une de ces cloches (cloche sol, de 1 504 livres) fut gravée à son nom. Ces cloches sont maintenant installées à l'église de Sainte-Thècle.
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Après avoir visité le cimetière Saint-Louis de Trois-Rivières, le 4 octobre 1897, Mgr Laflèche disait de lui, avec un brin d'humour: "Il est si beau notre cimetière que ça donne envie de mourir...". Il profita alors de l'occasion pour rappeler, encore avec humour, que "les cimetières sont les "villes" qui se dépeuplent le moins... Il y a actuellement de 8 000 à 9 000 personnes enterrées dans le cimetière (Saint-Louis). Ce nombre égale presque la population de notre ville".
